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Blog journalisme

14 mai 2009

Cannes 2009 : une cuvée exceptionnelle ?

Cannes210La traditionnelle cérémonie d'ouverture a lancé mercredi le 62ème festival de Cannes. A la vue des films en compétiton, cette édition est pleine de promesse. La liste des noms de réalisateurs prestigieux est pléthorique: Almodovar,VonTrier, Loach, Tarantino, Resnais, Haneke, Lee, Audiard; pour ne citer qu'eux. Rares sont ceux qui se rsiqueraient à faire un pronostic pour la palme d'or, d'autant plus que plusieurs d'entre eux l'ont déjà remporté.

Deux innovations sont à souligner cette année: d'abord que les cinq premières minutes de chaque film en sélection officielle seront offertes sur le net dès leur sortie en salles, afin de susciter chez le spectateur l'envie d'aller voir la suite au cinéma; ensuite le fait que pour la première fois de l'histoire du festival, une production Pixar, "UP" ("là-haut"), ouvrira le bal (infos: Tribune de Genève).

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13 mai 2009

Formule 1: un championnat sans Ferrari ?

monaAussi surprenant que cela puisse paraître, l'écurie Ferrari a menacé mardi la Fédération Internationale d'Automobile (FIA) de ne pas prendre part au prochain championnat du monde automobile de formule1 (info: L'Equipe.fr) Motif: la très probable limitation des budgets prévus pour la saision 2010. La direction italienne a fait savoir, par le biais d'un communiqué, "son opposition aux nouvelles règles imposées par la FIA et n'inscrira pas ses voitures au championnat du monde 2010". La raison de ce mécontement se trouve dans "la proposition de Max Mosley [président de la FIA] qui offre en substance à certaines écuries une grande liberté technique en échange de budgets (45 milions d'euros) contrôlés et à d'autres des libertés financières mais avec d'impératives restrictions techniques". La firme au cheval cabré juge ces mesures "fondamentalement injustes" et assure que Ferrari se retirera du circuit si elles sont adoptées. Bien que l'écurie Ferrari ait pris part à la compétition, sans interruption, depuis 1950 et qu'elle ait marqué l'histoire du circuit avec des dizaines de titres remportés, le président Mosley avait déclaré il y a quelques jours déjà que "la présence de Ferrari n'est pas indispensable à la F1". Alors que pensez-vous de cette affirmation et de la menace de Ferrari?

11 mai 2009

Evènement: Agnès Varda au cibé-club universitaire!

affiche_vardaAvis au cinéphiles: ce lundi 11 mai, Agnès Varda sera présente au ciné-club universitaire pour un rendez-vous exceptionnel. Dans le cadre du cycle de films qui est consacré à son oeuvre cinématographique, la réalisatrice viendra pour une soirée spéciale: - 20h00: Agnès Varda parlera de son cinéma; - 20h45: projection du film les créatures, avec Michel Piccoli et Catherine Deneuve; 22h45: rencontre avec le public.

C'est donc une excellente occasion de découvrir une partie de l'oeuvre originale de cette artiste atypique. Pour plus d'informations: le site des activités culturelles de l'UNIGE.

10 mai 2009

Thema: Vie privée/ Vie publique

maison_indplace_publique_animee_393961Dans le cadre de mon mémoire de master en sciences de la communication et des médias, mes lectures me penchent sur une disctinction de plus en plus en délicate à établir: celle que l'on conçoit généralement entre sphère publique et sphère privée. Le sujet que je traite concerne la médiatisation de la "vie privée" des actrices et des acteurs politiques dans la presse suisse romande. Le problème est assez régulièrement débatu depuis un certain temps et on peut parler d'un phénomène international que l'on identifie généralement sous le terme de "peopolisation politique". Certains de ces récits, apparement consensuel (quoi de plus trivial que les joies ou les déboires personnels d'un individu) peuvent néanmoins prendre la tournure de véritable scandale dès lors qu'un rapprochement étroit avec les affaires politiques est constitué (généralement de la part des détracteurs politiques ou médiatiques). L'exemple le plus mémorable nous ramène certainement à "l'affaire Monica Lewinsky" aux Etats-Unis, pays souvent considéré avec la Grande-Bretagne comme un des précurseurs dans l'exposition scabreuse des personnalités publiques. Si, pour des raisons juridiques ou culturelles notamment, il est vrai que les anglo-saxons sont les moins réticents et souvent les plus offensifs dans le dévoilement de la vie privée des politiques, leurs pratiques doivent rapidement être nuancées. Premièrement, la notion de "vie privée" n'est pas perçue là-bas de manière semblable qu'en Suisse ou en France par exemple, et deuxièment l'exposition de la vie privée des personnages politiques ne leur est pas particulièrment dûe à l'origine (sous une autre forme évidemment, on pourrait remonter jusqu'à Marie-Antoinette).

En Suisse, si certains évènements d'ordre privé venaient à l'occasion s'immiscer dans la presse, les pratiques générales semblaient il y a peu encore privilégier une forme de discrétion (qualififé par certains de connivence). Pourtant, depuis quelques années, en vertu du "droit à l'information" et de "l'intérêt public" (notions relativement floues sujettes à une assez forte interprétation), une rupture, dont l'ordre de grandeur mériterait bien sûr d'être préciser, semble être entrain de s'effectuer. Plusieurs cas sont venus dernièrement défrayer la cronique (Xavier Bagnoud ou Thomas Borer par exemple) mais le cas sans doute le plus retentissant, puisqu'il s'est constitué justement comme une "affaire", concerne le récit politico-médiatique qui s'est construit autour de Valérie Garbani. Beauoup de choses ont été dites et écrites à son sujet, produisant d'ailleurs une certaine confusion entre sa vie privée et publique d'une part (et très débattue) et de manière plus insidieuse entre les troubles dont elle s'est rendue coupable (violation de domicile et insultes à agents notamment) et dont elle était vicitme (violences domestiques).

La problématique autour du décloisonnment entre vie privée et publique ne se limite pas au politique bien entendu. Cela n'en représente qu'un aspect particulier mais tout un chacun pourrait en théorie se voir confronter au problème. De manière délibérée, on ne recense plus le nombre d'émissions de télévision ou l'exposition de l'intime se fait de manière très ostentatoire. Si l'on étend un peu le débat la réflexion peut s'élargir au secret bancaire, à Internet et ses réseaux communautaires ou encore à la prochaine votation fédérale sur les passeports bio-métrique. On rentre avec ce dernier point plus en profondeur sur les questions sous-jacentes que posent les notions de vie privée et de vie publique: la surveillance et la liberté individuelle.

Et vous qu'en pensez-vous? Trouvez-vous que notre sphère privée est de plus en plus entrain de se reduire? Pensez-vous que concernant les politiques cela est plutôt une bonne chose? Ou au contraire cela est-il plutôt néfaste et n'apporte pas grand chose au débat public?... N'hésitez pas à réagir!

Pour ceux et celles qui souhaitent approfondir la réfléxion: - un livre: politique people (2008) de Jamil Dakhlia et un article: Vie privée/ Vie publique: la fin d'une dichotomie? d'Annik Dubied (2006)

1 mai 2009

Cinéma : que nous dit le dernier Tavernier ?

712386Actuellement à l'affiche, le dernier film du cinéaste français Bertrand Tavernier a de quoi surprendre. En effet, In the electric mist est son premier film "hollywoodien". Synopsis:

New Iberia, Louisianne, le détective Dave Robicheaux enquête sur le meurtre d'une jeune prostituée sauvagement abbatue. Le lendemain du crime, il interpelle sur la route une vedette de cinéma en état d'ébriété qui l'informe sur les restes des ossements d'un cadavre vieux de plus de qurante ans perdus dans les marécages du bayou. Au fil de son ivestigation, il va peu à peu se rendre compte que ces deux histoires sont en fait étroitement liées...

Et alors? Inspiré d'un roman policier de James Lee Burke's, l'intrigue nous plonge non seulement dans le passé du personnage principal (Tommy Lee Jones), mais surtout dans celui de la Louisianne et même au sens plus large dans celui des Etats-Unis. En réalité, Tavernier nous propose deux histoires en parallèle, celle d'un flic hanté par les fantômes du passé et en proie à l'alcoolisme, et celle de sa région dont les maux se font à peine remarquer tant ils font partie du décor. Les mystères de l'enquête recouvrent alors les secrets d'un passé profondément ancré dans le présent. L'idée du film repose sur un postulat déterministe où tous les évènements sont imbriqués, chaque chose faisant référence à évèment antérieur. Ici, l'origine du nom de Dave Robicheaux renvoie tout d'abord à celle de la Louisianne. Un Etat qui fut véritablement au coeur de la guerre de sécession, comme nous le rappelle la présence dans le film d'un vieux général venant troubler l'imaginaire de Robicheaux, qui lui-même est un vétéran du Viet-nam, chassant désormais les proxénètes en les menaçant de leur faire vivre un enfer à la Bagdad... Tout est lié, des champs de coton aux ravages de l'ouragan Katrina, la trame sociale chère aux films de Tavernier se dessine subtilement sur des accords de blues incessants. Une histoire américaine en somme, que la présence du légendaire Buddy Guy incarne parfaitement à l'écran.

En fin de compte, le film est impeccablement porté par Tommy Lee Jones, dont les traits du personnage rappelle par moment l'image déjà mythiqe de Eastwood, et aussi un John Goodman incarnant un fills d'immigré italien, obèse, prenant une forme de revanche sociale dans un excès insolant (argent, sexe et hip-hop) symbolisant tout un aspect de la société étasunienne. Néanmoins, l'ambitieux imbroglio général réalisé par Tavernier prend le risque de s'essoufler et de perdre le spectateur. Il en reste un tableau quasi sociologique et représentatif non pas d'une époque mais de plusieurs. A ne surtout pas manquer pour les amateurs de Tavernier et/ou de bons polars.

In the electric mist (dans la brume électrique), de Bertrand Tavernier. Avec Tommy Lee Jones, John Goodman, Mary Steenburgen. Actuellement en salles. Voir bande annonce

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26 avril 2009

Football: l'OM vers un dixième titre ? *

2604_ommmLors du dernier match de la trente-troisième journée du championnat de France, l'Olympique de Marseille a creusé l'écart au classement en allant s'imposer sur la pelouse de Lille (1-2). Certes, Bordeaux s'est fait plaisir en remportant aisément la Coupe de la Ligue samedi soir contre Vannes au Stade de France et compte un match en retard sur le leader, mais les girondins sont presque condamnés à aller s'imposer mercredi à Rennes s'ils entendent disputer le sprint final jusqu'au bout.

A Lille, l'OM a marqué un grand coup. Non seulement l'équipe marseillaise a remporté sa sixième victoire consécutive en championnat mais elle a nettement distancé deux de ses principaux concurrents, Lyon et Paris qui se sont neutralisés vendredi soir et affichent désormais respectivement 6 et 7 points de retard au classement. Elle a surtout montré une fois de plus une force de caractère quasi inébranlable depuis le début de l'année. Menés un à zéro à la 49eme minute (but de Hazard), les Marseillais ont su renversé la situation en à peine trois minutes, grâce à une superbe reprise de volée de Cheyrou à l'entrée de la surface de répération, puis un tir croisé très bien placé de Niang (capitaine en l'absence de Cana). Par la suite, les phocéens ont été solides en défense à l'image de l'étonnant Civelli et surtout de l'impecable Mandanda, qui a d'ailleurs repoussé un penalty de Bastos en première période. Dans une fin de match tendu (cinq cartons jaunes dans la dernière demi-heure), ils auraient même pu se rassurer dès la 75ème minute si Niang avait été plus réaliste.

En tête à l'issue d'une troisième journée consécutive et surtout à cinq matchs de la fin, l'équipe marseillaise, si elle n'est pas toujours géniale, offre néanmois une image de solidité indéniable et une rage de vaincre qui pourraient enfin permettre à Marseille de renouer avec son glorieux passé et qui sait, définitivement convaincre Pape Diouf et Robert-Louis Dreyfuss de tout faire pour concerver Gerets. Mais avant cela, il faudra d'abord surmonter l'obstacle toulousain qui viendra au vélodrome avec l'espoir de concerver ses chances pour accrocher l'Europe.

* le dixième titre de l'OM obtenu en 1993 a été supprimé

22 avril 2009

Radio - Libre antenne sur couleur 3

c3img20061110_7247437_0Aujourd'hui, je voudrais vous rendre compte d'une expérience "médiatique" que j'ai pu faire dernièrement en participant à une émission de radio sur Couleur3. Il existe sur cette chaîne un programme quotidien intitulé Tanger-Glasgow, diffusant de 13h à 16h des styles de musique variés. Etant un auditeur fréquent, j'avais reperé depuis un certain temps qu'il en existe une déclinaison dominicale réservée aux auditeurs, l'idée étant que ceux-ci proposent une sélection musicale de 10 titres puis viennent ensuite les présenter à l'antenne (autrement dit le concept du dj avec les commentaires en plus). Après plusieurs semaines d'hésitation, j'ai décidé récemment de me jeter à l'eau. Non seulement parceque je suis passioné de musique mais aussi parceque je voulais simplement tenter l'expérience.

C'est ainsi qu'après avoir scrupuleusement choisi mes titres et rempli le formulaire d'inscripiton, je me suis retrouvé dans les studios de la RSR (Couleur 3 appartenant au réseau de fréquence régionale). Arrivé en compagnie de mon amie avec une heure d'avance environ, nous patientons dans les alentours du quartier, sentant légèrement un trac me pénètrer, teinté d'excitation et d'appréhension. Puis nous entrons définitivement dans le bâtiment, curieux de découvrir réleelement les différents studios et les visages que nous nous étions imaginés jusqu'à présent. Arrivé dans le studio principal où a lieu l'enregistrement, je suis séduit par la grandeur de l'endroit et le style du décor. Au même moment, un autre auditeur est entrain d'enregistrer. On peut très bien entendre sa voix et celle de l'animateur, Jean-Luc Lehmann. Lequel vient rapidement nous saluer entre deux chansons. Puis c'est mon tour, mais avant de débuter l'enregistrement nous sortons un instant pour prendre l'air (ou fumer une cigarette ça dépend du point de vue) et discuter brièvement autour du formulaire que j'ai envoyé. En somme, il me briefe rapidement sur les conditions d'enregegistrement et son fil conducteur, sans pour autant me dicter quoi que soit sur ce qu'il faut mieux dire ou pas.

Et c'est parti pour une heure d'émission en tête à tête. Un peu tendu et intimidé au départ, je prends vite un certain plaisir à entendre "mes" morceaux et aussi à discuter avec Jean-Luc Lehmman (également le directeur de la chaîne), qui hors antenne me raconte des anecdotes intéressantes autour de son métier. L'enregistrement se déroule ainsi: dans les conditions du direct, l'assistant de production diffuse deux chansons puis nous discutons quelques minutes entre les séquences, sur mes goûts musicaux bien sûr mais aussi sur mon parcours biographique et ma vie en général. Finalement, j'ai vraiment commencé à me sentir à l'aise alors que l'émission arrivait déjà à son terme. Peu importe, j'ai vraiment pris du plaisir et c'est là l'essentiel. J'espère maintenant que je garderai ce sentiment après m'être entendu lors de la diffusion de dimanche...

Tanger-Glasgow des auditeurs sur couleur3: le dimanche de 14h à 16h.

19 avril 2009

Politique - Que retenir du G20 ?

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Plus de deux semaines après le sommet du G20 à Londres, un léger recul nous permet désormais d'en tirer quelques conclusions et analyses qui vont au delà du simple cliché photographique.

La semaine dernière, l'hebdomadaire français Marianne titrait dans un article, "G2O: une arnaque politico-médiatique". Laurent Neumann, le journaliste en question, y prend le contre-pied de ses confrères, qui selon lui auraient trop facilement cédé à l'encensement naïf. Citant quelques titres dithyrambiques de journaux célèbres comme le Figaro par exemple, il s'étonne qu'en France (contrairement à de nombreux autres pays), rien ne soit venu "gâcher la belle harmonie de ce concert baroque: les grands de la planète ont sauvé le monde du chaos!". En somme, il reproche aux membres du G20 d'avoir mis en oeuvre une sorte de "mascarade" visant à persuader les peuples qu' "un nouvel ordre économique, débarassé des excès du capialisme financier" venait de voir le jour.

Plusieurs exemples frappants viennent appuyer l'argumentaire de Neumann. Tout d'abord, un des points qui en Suisse a sans doute le plus fait parlé, la question des paradis fiscaux: une liste noire contenant six pays (Malaisie, Costa Rica, Philippines, Uruguay, Brunei et Guatemala) a d'abord été établi avant d'être rapidement réduite à quatre, puis à trois et enfin totalement disparaître à peine une semaine plus tard en échange de quelques promesses. De quoi être supris tout de même comme l'ironise le journaliste: "il fallait oser: il n'existe plus aucun paradis fiscal dans le monde!". Et si la Suisse figure finalement sur la liste grise, "Macao, Hongkong, certains Etats des Etats-Unis (par exemple le Delaware, le Wyoming, le Nevada) et même les îles vierges ont reçu l'absolution". De surcroît, le G20 ne s'est pas exprimé sur les centres off-shore, si contrevorsés et tant décriés par les défenseurs du secret bancaire, et aucun système de sanctions n'a été créé pour contrer les fraudeurs de l'économie mondiale. De quoi convaincre Neumann que "le secret bancaire a encore quelques beaux jours devant lui....".

Ce constat sans concession ne tend pas à nier les quelques bonnes résolutions qui ont été prises à Londres mais les blancs laissés par les membres du G20, notamment sur les agences de notation, l'augmentation du ratio de solvabilité des banques, ou encore la spéculation sur les matières premières de consommation courante a de quoi laisser perplexe. Finalement la seule garantie de ce G20 londonien est que les dirigeants actuellement les plus en vus pour le moment se sont tous mis d'accord pour "sauver un système néolibéral pourtant subclaquant". Alors, outre les accolades, les sourires et même parfois les coups de colère (simulée?) le principal message que l'on peut retenir des membres du G20 est bien celui-ci : sauvons le capitalisme.

19 avril 2009

Bienvenue !

Ce Blog a été créé dans le cadre du cours Presse et société enseigné dans le master en sciences de la commuication et médias par Nicolas Pélissier à l'Université de Genève.

Il contiendra 8 messages à vocation journalistique traitant de l'actualité en général (politique, médiatique, sportive, culturelle, etc.). Ce Blog n'est pas destiné à perdurer dans le temps mais je vous engage néanmoins à laisser des commentaires et réagir aux articles en donnant votre point de vue personnel. C'est à mon avis l'esssence même du telle plate-forme.

Bonne lecture

Grég

9 avril 2009

Nouveau Blog

DV6000_FACEVoici le premier message test de ce nouveau Blog... que j'espère riche et concluant!

Bienvenue à toutes et à tous

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